TrailBall : Origines & atouts

TrailBall : origines et atouts

L’idée du TrailBall est née d’insomnies et de sorties longues en course à pied, en 2012. Mais il faut remonter beaucoup plus loin dans le temps pour atteindre la source initiale du TrailBall.

Origine : un sport ancestral des indiens Tarahumara

Certains lecteurs auront reconnu l’une des inspirations du TrailBall. Le sport puise une partie de son inspiration du rarajipari, un jeu de balle ancestral pratiqué depuis des siècles par les Indiens Tarahumara (Rarámuri) des Canyons de Cuivre (Barranca del Cobre) au Mexique.

Image de l’article « Rarajipari » (en Espagnol)

Comparatif TrailBall et Rarajipari

  • Les indiens Tarahumara jouent avec des balles en bois, de la taille d’une balle de tennis. Le TrailBall est fabriqué de PVC souple ;
  • Les matchs amicaux de rarajipari entre villages durent parfois plusieurs jours, sur des centaines de kilomètres. Nous, c’est un peu moins (pour le moment) ;
  • Chaque membre de l’équipe doit boucler la totalité du parcours. Pareil pour le TrailBall !

Les atouts du TrailBall

Le TrailBall propose une réponse à la question suivante : comment faire du sport et s’amuser, pour pas cher, pas loin de chez soi ?

Pourquoi il faut jouer au TrailBall :

  • Se joue à chaque âge, à toute condition physique ;
  • Récompense la coopération entre membres d’une équipe ;
  • Fait monter le cardio (sauf variantes Zen et Golf !) ;
  • Travaille la proprioception et les réflexes ;
  • Ne nécessite pas d’infrastructure physique ;
  • Facile à comprendre ;
  • Facile à jouer ;
  • Conviviale ;
  • Peu cher ;
  • Amusant !

Comment bien écrire « TrailBall » ?

Le TrailBall réunit deux sports :

  • le “Trail” (course nature)
  • le football.

Trail + Ball = TrailBall


Le but du TrailBall : rencontrer des gens, s’amuser, renforcer le corps, se changer les idées, et s’amuser.

Christian

Vidéos

Sources

« Canyon of the Tarahumara » – Unpublished photo essay, 1979, Randy R. Johnson

« Sortilèges de l’Ouest » par Rob Shultheis, 1978; traduction française depuis l’américain par Marc Amfreville, Editions Gallmeister, 2009 : pages 137, 138.

« Né pour courir » par Christopher McDougall, 2009; traduction française par Jean-Philippe Lefief, Editions Guérin, à Chamonix, 2012 : chapitre VI rarajipari page 63.